Coordination nationale (17-18/11)

Elle s'est déroulée à Tours, sans représentants de Paris8, ce qui est regrettable. De mémoire, je vais restituer quelques éléments qui m'ont été donnés.

- Problême de légitimité des participants : certains venaient d'assemblées générales fictives, comme d'Assas (lolol) ou d'Amiens (assemblée générale évacuée avant la fin, mandat donné par comité de mobilisation à des gens ne faisant peut-être même pas partie de cette université), et peut-être d'autres.
Problême : les représentants de ces assemblées fictives étaient membres du courant majoritaire de l'UNEF, qui ne s'est pas franchement positionné pour l'abrogation de la LRU.

De façon générale, on assiste à une tentative de noyautage de la coord, qui entraine le risque d'une scission pour retrouver une coordination nationale représentative des AG.

-au niveau des débats, reconduction de la motion de Rennes, condamnation de la repression et de la présence policière.


La présence de Paris 8 aurait été nécessaire pour contrer cette offensive de l'UNEF qui vise à destabiliser le mouvement.