AG DE L'UFR = POURRIE ???

C'est une solution qui marche peut-être pour quelques cours mais cela ne règle pas le problème de fond : ce matin l'université était quasiment déserte, les étudiants ont renoncé à venir et attendent que tous les cours reprennent, TOUS LES COURS.

Ce n'est que dans le mesure où les étudiants peuvent venir à l'université suivre leurs cours, qu'ils pourront y exprimer collectivement leur opposition à la LRU.

ça vous arrive de regarder ce qui a été effectivement produit pendant ce mouvement ? on vous a pas attendu pour s'organiser en groupes de travail et proposer des alternatives... il y a effectivement un projet de contre-réforme. et on ne "chie" pas un texte en deux semaines.

ceux qui pensent que le "blocage", c'est-à-dire les piquets de grève, sont des moyens de "pression" sur le gouvernement sont en effet des idiots. mais ce n'est pas un argument contre le blocage. car les idiots-bloqueurs qui croient que "bloquer c'est vaincre" N'EXISTENT PAS. je tiens à rappeller que le piquet de grève est un outil, non une fin en soi. l'outil est censé nous libérer du temps pour manifester, discuter en AG ou réfléchir en plus petits groupes, garder le contact avec les profs, participer à des ateliers ou à des cours alternatifs...

bloquer le ministère est une bonne idée. mais stratégiquement difficile à faire... actuellement du moins. vous parlez de manque de courage, mais on est pas kamikazes. pour l'instant on essaie de mobiliser plus de monde, d'avoir de réelles alternatives constructives à proposer. c'est dommage qu'il n'y ait pas plus de gens formés au droit dans ce mouvement.

certes le piquet est un activité parfois désagréable et la relève peut se faire attendre. en plus, elle n'est pas efficace, puisque vous réussissez à avoir cours. ma question, c'est: pourquoi continuez-vous à vous plaindre , puisque le blocage ne vous touche pas ? vous éprouvez un sentiment de solidarité intense pour vos camarades des autres UFR ? ou c'est pour les quelques étudiants en droit mobilisés depuis 3 semaines et qui seront dans la merde par votre faute ?

moi, ça ne me dérange pas de vous laisser passer en cours. je pense "sale traîtres" très fort et ça passe. si j'étais avec vous en cours, je ne sais pas ce que je ferais par contre.

nous aussi on s'inquiète pour nos cours, nos partiels, etc... c'est pour ça qu'on est contre la LRU, c'est pour ça qu'on bloque, c'est pour ça qu'on ne s'arrête pas à ça pour autant !

violette a écrit:il y a effectivement un projet de contre-réforme.

Il est où ? J'ai beau chercher mais c'est le désert niveau propositions alternatives ... que voulez-vous faire pour que les universités deviennent l'excellence de l'enseignement supérieur, soient reconnues à travers le monde comme de haute-qualité ?

LEMOINE a écrit:C'est une solution qui marche peut-être pour quelques cours mais cela ne règle pas le problème de fond : ce matin l'université était quasiment déserte, les étudiants ont renoncé à venir et attendent que tous les cours reprennent, TOUS LES COURS.

Ce n'est que dans le mesure où les étudiants peuvent venir à l'université suivre leurs cours, qu'ils pourront y exprimer collectivement leur opposition à la LRU.

théoriquement, tous les cours devaient être suspendus aujourd'hui, mais en fait, 60% d'entre eux ont eu lieu (d'après un camarade de géographie, un département INTÉGRALEMENT GRÉVISTE)

je veux bien que les étudiants expriment collectivement leur opposition à la LRU. Il va juste falloir qu'ils le fassent vite, parsque la grève des transports, ça reprend le 6 décembre. Autre chose, je me demande à quoi ça va servir que les étudiants disent "oui oui, on est contre la LRU. c'était quoi le devoir de marketing pour cette semaine ?"

pendant le cpe on avait fait des blocages que partiels, et les jours de cours étaient tendus. il est très dur de se concentrer, que ce soit sur les cours ou sur la mobilisation.

Oui, j'ai parfaitement entendu quelqu'un expliquer lors de l'AG de jeudi que le blocage permettait aux étudiants engagés dans le mouvement de faire grève sans être pénalisés. C'est un outil au service de ceux qui ont choisi la grève comme mode de protestation.

Quel est selon toi l'effet d'un discours comme celui-là sur ceux qui n'ont pas envie de se lancer dans une grève illimitée (et qui peut-être d'ailleurs contre la LRU)? on leur dit en clair qu'on en fait des victimes collatérales de l'action. Et vous voudriez qu'ils approuvent?

C'est bien le discours le plus stupide qu'on puisse tenir pour défendre un mode d'action.

pour ma part j'ai déjà choisi entre la LRU et le blocage.. c'est pas le blocage que j'ai choisi on arrivera pas a me convaincre par la force ça c'est sur !

Casso a écrit:que voulez-vous faire pour que les universités deviennent l'excellence de l'enseignement supérieur, soient reconnues à travers le monde comme de haute-qualité ?

effectivement, la commission de paris 8 chargée de réfléchir à un autre projet de loi ne s'est pas exprimée en AG depuis sa création. comme dirait le moine, ça a quelque chose d'un peu théologique comme fonctionnement

on peut quand même en parler au lieu de déléguer sur elle. je lance mes pistes avec lesquelles vous ne serez peut-être pas d'accord mais ça se discute

l'université doit-elle devenir l'excellence de l'enseignement supérieur ? oui, mais sans se comparer aux écoles, peut-être d'excellence, mais élitistes (chères, séléctives sur dossiers et sur critères spéciaux). l'excellence des universités doit être à la mesure de leur démocratisation. de ce côté-là, il y a du boulot, regardons les statistiques et demandons-nous d'où nous venons: nos parents pour la plupart ont fait des études supérieures et nous sortons pour la plupart de bacs généralistes. bien sûr, ce n'est pas le cas de tout le monde à paris 8 et ailleurs, mais c'est quand même une note majeure. il y a pleins d'étudiants qui ne peuvent toucher de bourses parsqu'il leur manque un critère, ce n'est pas pour ça qu'il n'ont pas de difficultés à concilier vie professionnelle et étudiante. quand je parle avec des gens qui ne sont pas allés à la fac, certains ont l'impression que c'est un autre monde: c'est un truc de riche ou super dur, et les problèmes rencontrés dans le secondaire les ont dégoutés de poursuivre, alors qu'en termes de contenu ça peut leur paraître intéressant. comment être plus ouverts ?

quid de l'excellence et de la haute-qualité ? je voudrais bien que la reconnaissance soit mondiaaaale, mais le critère qui doit primer, c'est la reconnaissance de qualité par les étudiants et les personnels eux-mêmes. qu'est-ce qui définirait pour chacun la qualité en terme de contenu et de forme de cours, en terme de cadre d'études ? il est évident que nous ne poursuivons pas tous les mêmes buts, ni les mêmes attentes de l'enseignement supérieur. voilà ce que je vois pour les étudiants: certains sont à la fac par défaut, pour aller dans une école plus tard. pour certains, c'est dans l'espoir d'avoir un meilleur boulot que celui qu'ils ont déjà. pour d'autres, c'est parsqu'ils ne savent pas exactement quoi faire et qu'ils veulent réfléchir sur une démarche qu'ils sont en train de construire petit à petit. d'autres encore veulent enseigner, ou se consacrer à des recherches spécifiques... beaucoup ne savent pas où se positionner au juste. à chaque volonté correspondent des critères différents en termes de contenu, de forme de cours, et de cadre d'études. il faut se demander comment se positionner là-dessus collectivement et essayer de concilier cela intelligemment. seule une enquête introspective et une concertation de la communauté universitaire pourront vraiment entamer cette réflexion: positionner le savoir dans la société.


si vous vous posez cette question de l'alternative pouvant déboucher sur une contre-réforme et des pratiques intéressantes, il pourrait être bon de lancer votre propre réunion à ce sujet... en attendant, il y a quand même des cours alternatifs qui à mon avis contribuent à cette réflexion:

-la journée de samedi consacrée à l'université critique.
-les cours de littérature sur sa propre utilité socio-culturelle.
-la réunion pour un réseau international / européen (la LRU faisant partie du processus européen dit de bologne, il s'agit de réfléchir, de traduire et de communiquer sur les enjeux actuels avec des pays tout aussi concernés que le nôtre)

lilavie a écrit:pour ma part j'ai déjà choisi entre la LRU et le blocage.. c'est pas le blocage que j'ai choisi on arrivera pas a me convaincre par la force ça c'est sur !

--> vous voulez peut être qu'on vous envoie des fleurs et un faire part pour venir manifester ou assister aux AG ? Les réponses de ce post m'ont inspiré les noms d'oiseaux les plus divers (je me demande desfois si les gens ont conscience de ce qu'ils disent?). Je suis consterné par les réactions des gens fasse à cette mobilisation (bien que l'article de lemoine était fort bien élaboré; cependant, la paroles de prof à l'air d'être pa mal sacralisée aussi). Comment aller manifester si vous avez un cours de droit fiscal (exemple) en même temps? si je suis votre logique aveugle, vous choisissez votre cours de droit fiscal.
Le piquet de grève permet aux personnes de venir à la fac (car elle n'est pas fermée), se familliariser avec les dangers (réels) de cette réforme, apprendre-s'ouvrir d'autre choses complémentaire (et utiles) aux livres et cours (ça fera du bien à nos amis de droit, ils en auraient bien besoin); apparemment vous pouvez encore aller en cours (ce qui y est, d'après ce que je lis, votre principale requête) et il reste la B.U, alors les "otages", "victimes" et autres "intimidés", merci bien...

lilavie a écrit:pour ma part j'ai déjà choisi entre la LRU et le blocage.. c'est pas le blocage que j'ai choisi on arrivera pas a me convaincre par la force ça c'est sur !

simple PS de mon message en rapport avec le message cité: ton choix est puéril (dans le sens où il capricieux et irréfléchi).

ps 2: article 1: faCe et pas fasse (autant pour moi); je ne serais pas étonné de me faire lincher pour les mots que j'ai utilisé.

Tom L1 Science Po a écrit:ps 2: article 1: faCe et pas fasse (autant pour moi); je ne serais pas étonné de me faire lincher pour les mots que j'ai utilisé.

* au temps pour moi

http://www.langue-fr.net/index/A/au_temps-autant.htm

Tom L1 Science Po a écrit:
Le piquet de grève permet aux personnes de venir à la fac (car elle n'est pas fermée), se familliariser avec les dangers (réels) de cette réforme, apprendre-s'ouvrir d'autre choses complémentaire (et utiles) aux livres et cours (ça fera du bien à nos amis de droit, ils en auraient bien besoin); apparemment vous pouvez encore aller en cours (ce qui y est, d'après ce que je lis, votre principale requête) et il reste la B.U, alors les "otages", "victimes" et autres "intimidés", merci bien...

Alors toi le 1ère année ton discours est bien beau! t'es venu pourquoi à la fac ? étudier ou flemmarder ? non parce qu'on peut se le demander... c'est pas en assistant constamment à des AG répétitives que la loi sera abroger! Faut se réveiller de temps en temps! youhouuu il est temps de penser que certains se préoccupent réellement de leur avenir ... et ça ne passe pas du tout avec des cours alternatifs, des AG plus que manipulées ou du désordre dans les locaux! Je me répète: vous faites honte!
et personnellement j'en ai marre de tout ça! mais ce n'est pas pour les 3e années que je m'inquiète le plus! Non, c'est pour tous les L1 qui n'ont pas choisis cette grève, qui découvrent l'univers de la fac, et qui vont surment l'abandonner prochainement parce qu'ils s'apperçoivent qu'ils n'avancent pas, que leur semestre est déjà à moitié foutu! super avenir pour eux les pauvres! (et je ne parle surtout pas des L1 bloqueurs qui eux ont déjà choisi le redoublement)

Casso a écrit:* au temps pour moi

Tu viens de mettre fin à une terrible question sur laquelle je cogitais depuis des années...

Ce n'est pas ce qu'on nous a expliqué à l'AG de jeudi. Je me souviens qu'on nous a dit que le blocage servait à protéger ceux qui avaient choisi de se mettre en grève car sinon ils auraient été pénalisés.

Un provocateur a dit que le blocage était "discriminatoire" parce qu'il pénalisait les étudiants qui avaient le plus de difficultés, ceux qui sont salariés, en alternance etc.
heureusement, on l'a fait taire en lui rappelant que le blocage avait été décidé "souverainement"

LEMOINE a écrit:
heureusement, on l'a fait taire en lui rappelant que le blocage avait été décidé "souverainement"

oh mon dieu, qu'est-ce qu'il ne faut surtout pas entendre^^
A quand le vote secret et général ?

UneEtudiantePireQueBlasée a écrit:

LEMOINE a écrit:
heureusement, on l'a fait taire en lui rappelant que le blocage avait été décidé "souverainement"

oh mon dieu, qu'est-ce qu'il ne faut surtout pas entendre^^
A quand le vote secret et général ?

Même pas capable de distingué de l'ironie... honnetement ça fait peur.

T.

PS : encore une correction (comme on m'a rappellé) ce n'est pas au temps mais autant.

Tom L1 Science Po a écrit:

UneEtudiantePireQueBlasée a écrit:

LEMOINE a écrit:
heureusement, on l'a fait taire en lui rappelant que le blocage avait été décidé "souverainement"

oh mon dieu, qu'est-ce qu'il ne faut surtout pas entendre^^
A quand le vote secret et général ?

Même pas capable de distingué de l'ironie... honnetement ça fait peur.

T.

PS : encore une correction (comme on m'a rappellé) ce n'est pas au temps mais autant.

Sauf que le contexte était tout sauf ironique. Si tu le trouves ironique, c'est que tu considères que l'AG conteste elle-même sa souveraineté (après tout pourquoi pas).

D'autre part, tu sembles bien incapable de distinguer un infinitif d'un participe passé.
Je vais t'aider, remplacer ton verbe par un verbe du 3 ème groupe (prendre par exemple), tu verras tout de suite quoi choisir

Pour finir, l'emploi correct est "au temps pour moi" et non "autant pour moi" comme tu sembles l'affirmer. Il semble que néanmoins les deux formes soient désormais admises, même si bien sûr la deuxième décline d'une faute récurrente utilisée à grande échelle (et combattue à grande échelle d'ailleurs, c'est un peu comme le point Godwin, on finit toujours par tomber sur ce débat, quel que soit le forum).

Mélanie a écrit:

Casso a écrit:* au temps pour moi

Tu viens de mettre fin à une terrible question sur laquelle je cogitais depuis des années...

Quentin a écrit:

Tom L1 Science Po a écrit:

UneEtudiantePireQueBlasée a écrit:

LEMOINE a écrit:
heureusement, on l'a fait taire en lui rappelant que le blocage avait été décidé "souverainement"

oh mon dieu, qu'est-ce qu'il ne faut surtout pas entendre^^
A quand le vote secret et général ?

Même pas capable de distingué de l'ironie... honnetement ça fait peur.

T.

PS : encore une correction (comme on m'a rappellé) ce n'est pas au temps mais autant.

Sauf que le contexte était tout sauf ironique. Si tu le trouves ironique, c'est que tu considères que l'AG conteste elle-même sa souveraineté (après tout pourquoi pas).

D'autre part, tu sembles bien incapable de distinguer un infinitif d'un participe passé.
Je vais t'aider, remplacer ton verbe par un verbe du 3 ème groupe (prendre par exemple), tu verras tout de suite quoi choisir

Pour finir, l'emploi correct est "au temps pour moi" et non "autant pour moi" comme tu sembles l'affirmer. Il semble que néanmoins les deux formes soient désormais admises, même si bien sûr la deuxième décline d'une faute récurrente utilisée à grande échelle (et combattue à grande échelle d'ailleurs, c'est un peu comme le point Godwin, on finit toujours par tomber sur ce débat, quel que soit le forum).

je e sais pas pourquoi je rentre dans votre jeu m'enfin bon: vous en êtes réduit a faire des cours de grammaire... ou plutot de conjugaison, pardonnez moi puristes de la langue française qui se divertissent de si peu.

Tom L1 Science Po a écrit:


je e sais pas pourquoi je rentre dans votre jeu m'enfin bon: vous en êtes réduit a faire des cours de grammaire... ou plutot de conjugaison, pardonnez moi puristes de la langue française qui se divertissent de si peu.

pauvre chou, tellement à plaindre ...

Dit moi les "Etudiants" de "Droit" au lieu de jouer la menace physique, respecter déjà les journées banalisé par le président. Faire cours un jours banalisé par la présidense et passible de sanction grave pour vos professeur.

Et on ne peut pas délogé tout les cours malheuresement, mais puisque vous comprenez pas, le blocage reprendras comme avant. Le mouvement n'est pas en phase désandante bien au contraire, et je ne suis pas contrairement aux Etudiants de droit(e) un apotre de Sarkozy, cette loi vous vous en foutez mais elle détruit l'université pour en faire une école privé.

Heuresement quelques gens de Droit sont avec nous...

Et a ceux qui disent que j'ai pas parler en AG

- On travaille deja sur des contre propositions de loi
- J'ai pris en charge un cours alternatif

Voilà, merci à vous.

Toni a écrit:Dit moi les "Etudiants" de "Droit" au lieu de jouer la menace physique, respecter déjà les journées banalisé par le président. Faire cours un jours banalisé par la présidense et passible de sanction grave pour vos professeur.

Et on ne peut pas délogé tout les cours malheuresement, mais puisque vous comprenez pas, le blocage reprendras comme avant. Le mouvement n'est pas en phase désandante bien au contraire, et je ne suis pas contrairement aux Etudiants de droit(e) un apotre de Sarkozy, cette loi vous vous en foutez mais elle détruit l'université pour en faire une école privé.

Heuresement quelques gens de Droit sont avec nous...

Et a ceux qui disent que j'ai pas parler en AG

- On travaille deja sur des contre propositions de loi
- J'ai pris en charge un cours alternatif

Voilà, merci à vous.

- des sanctions envers les professeurs ? pi quoi encore lol, c'est une blague, ils font cours dans l'illégalité peut-être ? alors c'est ça le but maintenant des universités, empêcher des cours ? magnifique... donc tu voudrais bien me rembourser mes frais d'inscriptions? car oui, il y a bien eu une erreur au départ, je pensais avoir payer pour des cours.... oh et bien, ce n'est pas ce même président qui a demandé à tous les professeurs de venir coûte que côute faire cours, même si c'était simplement pour nous remercier d'être venu? Il est hors de question que notre programme prenne du retard à cause de vous. Vous n'avez toujours rien compris on dirait. Jusqu'au bout nous viendrons à nos cours et vous ne saurez nous en empêcher car vous n'avez toujours aucune autorité sur nous. Vous ne représentez absolument rien à nos yeux. Et quand tu dis que des personnes en Droit te soutienne, elles doivent vraiment se compter sur les doigts de la main, parce que crois moi, t'es loin d'imaginer le nombre de personne contre cette mobilisation, quel que soit leur avis sur la loi. Alors tu vas gentiment arrêter de croir que ton blocage a une certaine valeur et si tu veux, tu peux aller manifester où bon te semble, mais pas devant nos salles de cours.

C'est illégal de faire cours une journée banalisée en effet.


Après si tu es contre la LRU comment etre contre la mobilisation ? Esprit de contracdiction ou simplement le fais d'être un brave étudiant qui n'ose pas contre-aller son professeur ?

Toni a écrit:C'est illégal de faire cours une journée banalisée en effet.

Après si tu es contre la LRU comment etre contre la mobilisation ? Esprit de contracdiction ou simplement le fais d'être un brave étudiant qui n'ose pas contre-aller son professeur ?

au secours lol, c'est là que l'on voit que votre mouvement a une grosse faille et que vous ne pourrez pas continuer longtemps ainsi^^. Et ne vient pas parler de courage, ça ne te va pas.

Et pourquoi ca ne me vas pas ?